Retour sur la journée
Vous trouverez sur cette page, 1- les replays, 2- les documents de présentation, 3- les ressources et 4- les synthèses des ateliers.1- Les replays :
Trouvez ci dessous les premiers replays des Assises régionales de la Vie Associative.2- Les documents de présentation :
Cette présentation contient les diapos des zoom sur la Charte d'engagements réciproques et du Panorama de la vie associative
3- Les ressources :
4- Les synthèses des ateliers :
1 Engagement / Bénévolat
Atelier animé par :
> Les constats : des difficultés :
> Les constats : des besoins :
> Des priorités et des propositions d’actions :
Et dans l’idéal : une réduction du temps de travail !
> Les constats : des difficultés :
- Disponibilité réduite surtout pour les actifs, d’où une surreprésentation des retraités parmi les bénévoles, retraités eux-mêmes plus investis que dans le passé dans des activités pour eux-mêmes et avec leurs petits-enfants.
- La pression s’opère toujours sur les mêmes personnes, ce qui entraîne fatigue, voire « burn out militant ».
- Difficulté pour les plus jeunes de trouver confiance et légitimité.
- Mobilités géographiques en augmentation pour tous.
> Les constats : des besoins :
- Faciliter la participation des actifs
- Faire venir des jeunes
- Libérer du temps et de la charge mentale liée aux contraintes administratives et à la responsabilité juridique.
- S’inscrire dans un réseau éco système de proximité, condition de survie des associations.
> Des priorités et des propositions d’actions :
- Priorité 1 : Reconnaissance de l’engagement dans le droit du travail
- Aller plus loin que les autorisations d’absence prévues par la loi citoyenneté de 2017 ? et créer un statut juridique de l’engagé (inspiré par exemple sur le modèle du délégué syndicale ou des pompiers volontaires)
- Faire vivre le compte engagement citoyen (CEC), accompagner les bénévoles dans la valorisation de leurs compétences
- Priorité 2 : Souplesse temporelle et géographique
- Alléger les statuts des associations, au profit d’un règlement intérieur plus détaillé, qui sera plus facile à modifier.
- Réduire les temps de mandat,
- Faire définir à chacun sa capacité d’engagement et définir les rôles en conséquence
- Composer des duos de référents, et dispatcher des missions ponctuelles
- Utiliser le numérique à bon escient :
- Crééer des groupes de messagerie instantanée pour faciliter la prise de décision rapide sur des points précis.
- Former aux applications de gestion associative
- Utiliser la visio conférence pour certaines réunions de coordination, au côté des réunions en présentielle pour traiter les questions de fond.
- Alléger les statuts des associations, au profit d’un règlement intérieur plus détaillé, qui sera plus facile à modifier.
- Priorité 3 : Éduquer à l’engagement
- Récompenser des micro-projets créés par des jeunes en milieu scolaire ou associatif
- Faire intervenir des bénévoles dans les programmes d’Education Morale et Civique (EMC)
- Priorité 4 : Développer des outils coopératifs
- Créer des associations « gare centrale » qui prendraient en charge l’aspect administratif de collectifs informels (outillage, portage d’agrément, délégations diverses…)
Et dans l’idéal : une réduction du temps de travail !
2 Appui à la vie associative locale
Atelier animé par :
> Les constats des difficultés :
> Dans l'idéal :
> Des solutions concrètes :
> Des pratiques inspirantes :
> Les constats des difficultés :
- Bénévole n’est pas un métier mais demande des compétences
- Manque de bénévoles (de gouvernance et d’action) et de temps
- Difficulté pour une asso de trouver:
- la bonne information
- le bon interlocuteur, près de chez soi
- Besoin d’être rassuré / accompagné sur diverses thématiques/sujets (juridique, projet asso, emploi, financement, communication, responsabilité, etc.)
- Besoin de référents humains (et non plateformes), avec une garantie de qualité
- Besoin de s’adapter aux besoins de chaque asso, en fonction de ses spécificités (taille, secteur d’activité…)
- Se faire connaître en tant qu’acteur de l’appui
- Comment instaurer la confiance et le dialogue entre assos et CT (meilleure connaissance des rôles et contraintes de chacun)
- Besoin de former et d’informer les élus et les agents
> Dans l'idéal :
- Un interlocuteur
- Unique et neutre
- De proximité / maillage(1 maison des assos dans chaque commune)
- Visible (cartographie / annuaire)
- Formé / compétent
- Disponible aux horaires des bénévoles
- Accès gratuit
- Des informations :
- Accessibles
- Actualisées / au bon moment
- Plateforme unique
- Des bénévoles :
- Nouveaux / investis
- Valorisés
- Ayant plus de temps
- Formés
- Un réseau des acteurs de l’appui :
- Mutualisation
- Echanges / rencontres
> Des solutions concrètes :
- Maillage plus important
- Répertoire exhaustif des structures existantes (carto)
- Un guichet unique au sein de chaque collectivité, avec plusieurs référents pour permettre un relai et étoffer l’amplitude horaire d’accueil
- Former :
- Les référents de proximité
- Les élus
- Les accompagnateurs
- Outiller les acteurs
- Outils adaptés aux besoins des assos
- Créer un réseau avec connaissance et reconnaissance des acteurs
- Aller à la rencontre des associations (collectivités)
- Communication : relai des communes / relai sur le site JeVeuxAider / relai via Greffe des associations / financement des acteurs labellisés pour cette communication
> Des pratiques inspirantes :
- Guid'Asso, Réseau national d'appui
3 Modèles socio-économiques et question de l’emploi
Atelier animé par :
> Les constats : des difficultés :
Modèles économiques fragiles, peu pérennes, alors que les besoins sont durables.
> Les constats : des besoins :
> Dans l’idéal :
> Des solutions concrètes :
Des témoignages inspirants :
> Les constats : des difficultés :
- Liées à la constitution des fonds propres, à la trésorerie, aux financements pour l’investissement.
- Liées aux financements publics :
- Appel à projet/d’offre pas forcement en lien avec le projet associatif (Le financement au projet (=> les limites) qui entraine souvent une dispersion et une augmentation des activités (faux-ami).
- Lourdeur administrative.
- Tensions entre les financements publics ou privés et les initiatives associatives.
- Questionnement sur la pérennisation des financements de fonctionnement et de la pérennisation des actions et des emplois (précarité des emplois, difficile de suivre les conventions collectives / suivre les évolutions des grilles de salaire).
- Liées à la dépendance des financements publics (exemple : comment penser autrement que financements publics lorsqu’il s’agit de projets en faveur de la citoyenneté).
- Liées à la fonction employeur.
- Liées au recrutement des bénévoles.
- Liées à la communication, à la valorisation du projet.
- Liées à la diversification des ressources financières et au recours aux différents dispositifs.
- La relation avec les acteurs publics : demande une vraie compétence / expertise.
- Liées à la recherche et au maintien des financements privés.
Modèles économiques fragiles, peu pérennes, alors que les besoins sont durables.
> Les constats : des besoins :
- Professionnaliser la recherche de financements privés.
- Innover en termes de projet.
- Diversifier les ressources (hybridation des ressources).
- Pérenniser et rendre attractif les emplois malgré le contexte mouvant (dispositifs, élus).
- Former les élus dirigeants bénévoles.
- Avoir un schéma de développement, définir un projet associatif.
- Développer des alliances et des partenariats.
- Reconnaitre le bénévolat (salariés obligés de poser des congés, cas FCPE).
- Sensibiliser les salariés des entreprises classiques à l’ESS (RSE).
- Professionnaliser la gestion en ressource humaine.
- Impliquer les collectivités dans le cofinancement des emplois.
> Dans l’idéal :
- Financer par la BPI l’innovation sociale et le secteur associatif.
- Mutualiser les emplois (réduction des coûts et emploi stable).
- Augmenter les financements publics.
- Avoir une solidarité financière entre les associations, notamment en termes de trésorerie.
- Avoir une caisse de péréquation pour les fonds européens, système de trésorerie solidaire.
- Pouvoir présenter des budgets prévisionnels excédentaires et non systématiquement à l’équilibre.
- Être aidé pour évaluer son impact social et le partager avec ses pairs = autres associations, pour sortir d’une pure logique de gestion (regard extérieur vu du terrain).
- Avoir une intermédiation et/ou mutualisation régionale pour faciliter le mécénat d’entreprises (valoriser effet action de l’association sur l’attractivité du territoire pour les salariés / retour positif pour l’entreprise / exemple du sport à Chartres, impulsé par le Maire ?).
- Avoir des financements pluriannuels, plus réguliers et qui respectent la trésorerie des associations (versement pendant la réalisation).
- Sortir de la logique d’amorçage.
- Soutenir la pérennisation de l’existant, en reconnaitre la valeur et ne pas être que sur l’innovation.
- Faire et regarder le bilan de l’impact social, et pas que financier.
- Rapprocher l’économie classique et sociale.
- Animer et fluidifier les échanges entre les différentes familles de l’ESS, mutuelles, banques, entreprises.
- Développer le mécénat de compétence pour capter notamment des multi compétences de personnes en fin de carrière (ex banque) – porte d’entrée GRH et RSE.
- Développer le tutorat et le mentorat / appui RH.
- Reconnaitre le bénévolat : avoir 1 ou 2 jours par mois de libre (salarié) en tant que bénévole, pour agir.
- Co construire une politique de financement pérenne et ambitieuse, avec les cofinancements (partage de compétences).
- Reconnaitre le secteur associatif (Ministère) (le travail des salariés et bénévoles) et restaurer le lien de confiance.
- Accompagner les associations employeuses.
- Soutenir l’intérêt général et sortir de la logique libérale qui est omniprésente dans la société, y compris dans le management.
- Soutenir exceptionnellement les associations en cas de passages difficiles (ex : baisse des cotisations / adhérents).
- Rémunérer correctement les salariés afin d’éviter le turn over.
> Des solutions concrètes :
- Créer une caisse de péréquation.
- Pouvoir présenter des BP excédentaires.
- Utiliser la plateforme participative Efferve’sens et les outils financiers de France Active.
- Mettre en place une pépinière d’appui à l’élaboration d’un modèle économique dès la création, ou avant la création de l’asso (idéal ou concret ?).
- Utiliser les outils financiers pour faire face à une baisse de recettes ou d’activité.
- Rendre plus lisibles les dispositifs d’information et d’appui aux associations à toutes les échelles (F Active, DLA, Guid’Asso => un des objectifs principaux de la mise en place de ce projet).
- Mettre en place une plateforme de gestion portée par l’Etat, d’un portail numérique central de toutes les ressources utiles à la vie associative, avec des outils.
- Développer des Social business plan.
Des témoignages inspirants :
- Fracama : travailler sur l’objet social et sur comment travailler avec les salariés => RSE (responsabilité sociétale des entreprises).
- France Active : le projet stratégique est la basse, si l’association ne sait pas où elle veut aller, difficile de proposer les bons outils ou solutions de financement.
- Famille rurales CVL : ré interroger l’utilité sociale, la ruralité et les valeurs de l’association afin d’avoir une offre de formations en adéquation avec les besoins du terrain et les spécificités de l’association => plus cohérent et viable financièrement.
- Id 37 : avoir une stratégie économique :
- Avoir des relations très fines avec les acteurs du privé et du public.
- Diversifier ses ressources financières.
- Savoir s’adapter aux changements politiques qui entrainent des changements de dispositifs et de priorités.
4 Déclinaison de la Charte d’Engagements Réciproques au niveau local
Atelier animé par :
À l’heure où l’action publique est en pleine mutation, les principes de la charte d’engagements réciproques méritent d’être largement diffusés et appropriés. Partout, à tous les échelons territoriaux et dans tous les domaines de politiques publiques, des chartes adaptées au contexte et aux enjeux peuvent être signées, à l’initiative des acteurs concernés.
Démarches volontaires et pro-actives, s’inspirant du socle de principes énoncés dans la charte nationale, ces chartes locales ou sectorielles sont un bon moyen de renforcer le dialogue et la confiance entre les acteurs qui font l’action publique. Elles témoignent d’une nouvelle manière de penser et de rendre des services au public, plus proche des citoyens et de leurs besoins.
> Les constats
Pratiques inspirantes
La mise à jour des interlocuteurs des associations est une première étape.
Les associations qui viennent vers la commune sont le plus souvent celles qui n'ont pas de problème
-> Utilisation de la Charte existante au niveau départemental (cliquer ici pour la consulter)
Volonté d'accompagnement et de résolution des problèmes des associations.
Relation étroite avec les élus → identifier les problématiques et apporter les réponses
L'essentiel des associations ont adhéré à la démarche.
M. Yannik BIGOUIN – Délégué régional, Le Mouvement associatif de Bretagne
Dynamique de faire ensemble
2. Assise locales
Enjeu: Sortir d'une logique de guichet et pouvoir accompagner les associations
Trouvez sur le lien ci-dessous la présentation du témoignage des acteur·rice·s de la charte de Guingamp Paimpol.
diaporama_charte_agglo_Guingamp_Paimpol_1.pdf (0.7MB)
→ Création d'un comité local de la vie associative, pensé à une échelle humaine
Des solutions concrètes
Dans l’idéal
À l’heure où l’action publique est en pleine mutation, les principes de la charte d’engagements réciproques méritent d’être largement diffusés et appropriés. Partout, à tous les échelons territoriaux et dans tous les domaines de politiques publiques, des chartes adaptées au contexte et aux enjeux peuvent être signées, à l’initiative des acteurs concernés.
Démarches volontaires et pro-actives, s’inspirant du socle de principes énoncés dans la charte nationale, ces chartes locales ou sectorielles sont un bon moyen de renforcer le dialogue et la confiance entre les acteurs qui font l’action publique. Elles témoignent d’une nouvelle manière de penser et de rendre des services au public, plus proche des citoyens et de leurs besoins.
> Les constats
- La charte peut être un outil de participation à la vie de la cité et un outil de communication
- Nécessité d’une volonté politique. Comment donner l'envie aux élus ? Faut-il associer l'ensemble des élus à la démarche ?
- Provoquer la proximité : avoir « un RDV » avec les associations.
- Comment positionner la charte ? un aboutissement, un point de départ ?
- Point de vigilance : le temps à y accorder !
Pratiques inspirantes
- 1. Commune de Petite Ile (Ile de la Réunion) M. Olivier FORT – adjoint au maire
- Point de départ : professionnaliser le tissu associatif mais aussi professionnaliser les agents.
La mise à jour des interlocuteurs des associations est une première étape.
Les associations qui viennent vers la commune sont le plus souvent celles qui n'ont pas de problème
- Difficulté principale : trouver la méthode, le processus
-> Utilisation de la Charte existante au niveau départemental (cliquer ici pour la consulter)
- Préalable : être attentif à la liberté associative pour maintenir la confiance entre la collectivité et les associations
- Facteurs clés de succès : une démarche « Gagnant-gagnant » + confiance
- Objectif : Apporter un plus au tissu associatif
- Ex : Communication sur les actions associatives → mise en valeur, permettre aux associations d’avoir de nouveaux adhérents (ex : Sport / Santé)
Volonté d'accompagnement et de résolution des problèmes des associations.
Relation étroite avec les élus → identifier les problématiques et apporter les réponses
L'essentiel des associations ont adhéré à la démarche.
- Plus-value : dynamique associative qui permet de fidéliser les habitants sur le territoire et de rendre le territoire attractif
- Méthodologie : Réunions et groupes de travail
- Temporalité : Plusieurs mois
- 2. Agglomération Guingamp Paimpol (département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne)
M. Yannik BIGOUIN – Délégué régional, Le Mouvement associatif de Bretagne
Dynamique de faire ensemble
- Méthode :
2. Assise locales
Enjeu: Sortir d'une logique de guichet et pouvoir accompagner les associations
Trouvez sur le lien ci-dessous la présentation du témoignage des acteur·rice·s de la charte de Guingamp Paimpol.
diaporama_charte_agglo_Guingamp_Paimpol_1.pdf (0.7MB)
→ Création d'un comité local de la vie associative, pensé à une échelle humaine
Des solutions concrètes
- Sensibiliser les élus : un webinaire pour faire connaître la charte régionale et des exemples de déclinaison
- Former les agents (avec les têtes de réseau ?) réponse facile à mettre en œuvre et qualitative
- Construire un argumentaire pour les agents publics
- Proposer la création d'un comité local à la vie associative pour évaluer l'application d’une charte territoriale
- Organiser l’échange de pratiques entre les collectivités
- Envoi de la Charte régionale par le Conseil régional
- Accompagner les collectivités territoriales dans cette démarche de déclinaison d’une charte (via guid'asso ? un tiers ?)
- Créer un réseau d'élus/d'agents à la vie associative (en s’appuyant sur la Charte et Guid'asso
Dans l’idéal
- Ecosystème : une charte de l'ordre statutaire (ce que chacun peut apporter à l'écosystème). Ce n'est pas le lieu de revendiquer un attendu de l'autre ou des autres
- Coopérer : Ne pas enfermer le travail dans des réunions (contraintes d'espace et de temps) mais permettre la collaboration asynchrone
- Vouloir : Faire émerger une volonté sincère de créer un commun pour le monde associatif. Assos / Elus/ Etat
- Envisager des chartes regroupant les associations qui œuvrent dans le même champ d’activité (ex : une charte des associations dans le champ du Handicap et l'Isolement)
- Prendre le temps pour construire la confiance
- Coopération en tripartite. Penser en transversalité.
- Accepter la temporalité nécessaire pour avoir une charte « gagnant-gagnant »
5 Transition écologique
Atelier animé par :
> Les constats
Dans l’idéal
→ Les associations sont expertes en matière de transition écologique.
→ L’impact écologique de chaque décision est pris en compte.
→ Il n’y a plus de voitures sur le parking, tout le monde est en vélo ou en moyen de transport
→ Tout le monde peut manger bio, local, en circuit court.
→ Personne ne remet en question les rapports du GIEC
Des solutions concrètes
Pratiques inspirantes
→ Eco- lieu La Filerie
→ Eco- label européen tourisme
> Les constats
- → Par où commencer ?
- Difficulté à dégager du temps pour questionner sur le sujet.
- Mobiliser le CA pour que ce soit un sujet essentiel.
- Prioriser les actions.
- Multiplicité des difficultés liées au contexte (Covid, Ukraine, …).
- Manque d’ingénierie + on ne sait pas qu’il y a des ressources.
- Sentiment que la sensibilisation n’a pas d’impacts.
- Difficulté à mettre en place des moments conviviaux respectueux de la transition écologique.
- Multiplicité des contraintes pour passer à l’action.
Dans l’idéal
- Pas de contraintes financières.
- Chacun est éduqué et agit en conséquence.
- Les associations sont accompagnées sur ces questions.
- Des moyens humains spécifiques sont dédiés.
- Il y a eu une prise de conscience collective qui a levé les freins au sein des CA d’assos, des collectivités, il n’y a plus qu’à agir.
- La transition écologique est partout dans tous les projets et actions des associations.
- La transition écologique permet de refaire société de re-questionner l’ensemble de nos fonctionnements, elle évite une rupture au sein de la société pour retrouver une nouvelle culture commune.
→ Les associations sont expertes en matière de transition écologique.
→ L’impact écologique de chaque décision est pris en compte.
→ Il n’y a plus de voitures sur le parking, tout le monde est en vélo ou en moyen de transport
→ Tout le monde peut manger bio, local, en circuit court.
→ Personne ne remet en question les rapports du GIEC
Des solutions concrètes
- Une volonté publique, un travail législatif.
- Obtenir les moyens financiers adéquats.
- Mettre en place des temps de formations, d’échanges à destination de tous pour partager les enjeux, les regards, les idées, les solutions, s’approprier ensemble ces enjeux et y remédier + un DLA transition éco.
- Avoir des contacts locaux pour une alimentation durable lors des moments conviviaux associatifs pour vivre pleinement la transition écologique avec plaisir.
- Avoir des contacts locaux d’entreprises qui proposent des installations techniques durables et qui sont fiables avec un réel objectif d’intérêt général et pas que lucratif.
- Créer un réseau de partage des solutions que les uns et les autres ont pu trouver.
Pratiques inspirantes
→ Eco- lieu La Filerie
- Partager en confiance sans nécessairement être expert.
- Se regrouper, faire ensemble avec les personnes et collectifs qui souhaitent agir et ne le peuvent pas à leur échelle.
- Faire vivre la transition écologique plutôt qu’avoir ou porter de grands discours.
- Donner envie aux gens de participer.
- Apporter des solutions pratiques à la transition écologique.
→ Eco- label européen tourisme
- Eco-label européen → labels locaux plus accessibles (clé verte)
- Faire un diagnostic aidé par des partenaires pour avoir des objectifs modestes et réalisables échelonnés dans le temps.
- Avoir une méthodologie de travail
- Fiches pratiques
6 Inclusivité / Égalité
Atelier animé par :
Quels leviers pour favoriser l’inclusion et l’égalité au sein des associations ?
> Les constats : des difficultés
> Les constats : des besoins
> Des pratiques inspirantes
Quels leviers pour favoriser l’inclusion et l’égalité au sein des associations ?
> Les constats : des difficultés
- Difficulté à « situer » le sujet : ne sait pas par quelle entrée prendre le sujet (gouvernance, actions, communication, engagement bénévoles…)
- Manque de moyens (temps, financier, humain) pour mieux le prendre en compte dans les projets d’association
- Un sujet complexe et en constante évolution et questionnement : manque d’informations, de connaissances sur les questions d’égalité et d’inclusivité
- Nécessité d’objectiver : quels chiffres sur l’égalité et l’inclusivité au sein des associations en région ? Gouvernance, public, membres et bénévoles ?
- La force de l’habitude : « on fait comme on sait faire »
- S’interroger sur nos manières de faire peut engendrer des remises en question professionnelle et personnelle qu’il faut être prêt à entendre et à appliquer
- Difficulté à aller au-delà des personnes déjà convaincues
- Manque de confiance en soi des femmes > n’osent pas aller sur des postes à responsabilités (présidence ou direction d’association)
- Pour une petite structure avec un effectif réduit, ces questions ne sont pas forcément prioritaires.
- Le fonctionnement pyramidale, souvent encore présent dans les associations, à tendance à freiner la parole de la base
> Les constats : des besoins
- De l’information, de la sensibilisation, de la formation pour mieux situer le sujet et les possibilités d’action
- Des ressources et des outils pour accompagner, donner des idées
- Pouvoir et savoir accueillir toute personne (équipe salariée, bénévoles, adhérent·es, public…) quel que soit son handicap, son genre,…
- Il n’existe pas, ou le public n’a pas connaissance, de structures de références pouvant accompagner les associations dans cette démarche.
- Même constat pour les propositions de formations.
- Les participants s’accordent pour dire que les enjeux et si important que l’action des actions ne peut pas être suffisante : il faudrait que dès aujourd’hui, l’éducation nationale promeuvent ces sujets.
- Des espaces de dialogues et d’échanges pour mieux (faire) connaître les bonnes pratiques
- Mettre en avant la plus-value plus que les contraintes > plus d’inclusivité et d’égalité pour
- Un meilleur vivre-ensemble
- De nouveaux·elles bénévoles
- Un projet d’association qui parle au plus grand nombre et dans lequel plus de personnes se retrouvent et s’identifient
- …
> Des pratiques inspirantes
- Un programme de mentorat pour contribuer à augmenter l’accessibilité des femmes à des postes à responsabilités
- La signature d’un accord sur l’égalité professionnelle entre les hommes et les femmes pour les salarié·es
- Une action co-construite avec des adhérent·es en situation de handicap
- Repenser sa communication en s’assurant d’une représentativité de toutes et tous
- L’utilisation de l’écriture égalitaire (mots épicènes, double inflexion…) pour s’adresser au plus grand nombre
- La limitation du temps de mandat pour davantage de renouvellement
- Une co-présidence femme/homme
- Outil en ligne www.inclusicore.org lancé par LMA qui permet de faire un état des lieux et de lancer la réflexion !
- Liste des ressources disponibles sur www.inclusicore.org qui permet de traiter de manière organisée ces problématiques et d’y apporter des réponses concrètes, quel que soit le niveau d’avancement de l’association sur ces questions !
- Face au constat de l’usure du bénévolat dans certaines associations (vieillissement des bénévoles et difficultés à recruter), s’interroger sur ces problématiques peut être le moyen d’assurer l’ouverture de l’association à tous. Au final, en changeant de paradigme, ce qui semblait un défi devient un moyen d’assurer et développer l’association (grâce au développement
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1. Vitalité démocratique/égalité - Jardiner
1. Vitalité démocratique/égalité - Jardiner
Thème :
1. Vitalité démocratique/égalité
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Jardiner
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jardiner
1. Vitalité démocratique/égalité - Reconnaissance
1. Vitalité démocratique/égalité - Reconnaissance
Thème :
1. Vitalité démocratique/égalité
Nom :
Lafond
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Reconnaissance
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etre reconnu plus par la collectivité et pas rassemblé en un seul pôle. trop d inégalités selon les associations et selon les ville.
2. Reconnaissance de la vie associative - Clarification du statut des bénévoles dans les associations employeuses
2. Reconnaissance de la vie associative - Clarification du statut des bénévoles dans les associations employeuses
Thème :
2. Reconnaissance de la vie associative
Nom :
Ilana
Titre de votre contribution :
Clarification du statut des bénévoles dans les associations employeuses
Votre contribution ou commentaire :
Dans les associations qui emploient du personnel pour des taches spécifiques, l'appui de l'investissement des bénévoles reste nécessaire et indispensable en complément.
Parfois l'Inspection du travail cherche à requalifier cette participation en "travail dissimulé". Comment lutter contre ce phénomène qui peut dans certains cas, limiter le recours aux bénévoles surtout si ceux-ci sont par ailleurs, à la recherche d'un emploi.
Des recommandations, voire des textes officiels, pourraient être émis afin de mettre toutes les associations sur un plan d'égalité.
Parfois l'Inspection du travail cherche à requalifier cette participation en "travail dissimulé". Comment lutter contre ce phénomène qui peut dans certains cas, limiter le recours aux bénévoles surtout si ceux-ci sont par ailleurs, à la recherche d'un emploi.
Des recommandations, voire des textes officiels, pourraient être émis afin de mettre toutes les associations sur un plan d'égalité.
2. Reconnaissance de la vie associative - Financement des déplacements
2. Reconnaissance de la vie associative - Financement des déplacements
Thème :
2. Reconnaissance de la vie associative
Nom :
HAMMADI
Titre de votre contribution :
Financement des déplacements
Votre contribution ou commentaire :
adin de permettre aux associations de se deplacer . pourrions nous reflechir a des financements exceptionnelles pour les deplacements. cela permetterai de faciliter les liens de mobilite
2. Reconnaissance de la vie associative - Financement des déplacements
2. Reconnaissance de la vie associative - Financement des déplacements
Thème :
2. Reconnaissance de la vie associative
Nom :
HAMMADI
Titre de votre contribution :
Financement des déplacements
Votre contribution ou commentaire :
adin de permettre aux associations de se deplacer . pourrions nous reflechir a des financements exceptionnelles pour les deplacements. cela permetterai de faciliter les liens de mobilite
2. Reconnaissance de la vie associative - Plus de temps pour les actifs qui veulent faire du bénévolat
2. Reconnaissance de la vie associative - Plus de temps pour les actifs qui veulent faire du bénévolat
Thème :
2. Reconnaissance de la vie associative
Nom :
Koch Mathian Olivier Familles Rurales
Titre de votre contribution :
Plus de temps pour les actifs qui veulent faire du bénévolat
Votre contribution ou commentaire :
De nombreux actifs veulent aider et faire du bénévolat dans le monde associatif, mais sont soumis à des contraintes de temps, une grande difficulté à conjuguer vie professionnelle, familiale et bénévole. Il faudrait favoriser ce modèle en améliorant sa reconnaissance/valorisation auprès des employeurs, que ce soit par un temps de travail alloué au bénévolat, une réduction du temps de travail, etc. Ce temps bénévole est utile à la société, et doit être mieux valorisé. Cela permettrait aussi de faciliter le renouvellement des cadres bénévoles dans les associations
2. Reconnaissance de la vie associative - Reconnaissance
2. Reconnaissance de la vie associative - Reconnaissance
Thème :
2. Reconnaissance de la vie associative
Nom :
Lafond
Titre de votre contribution :
Reconnaissance
Votre contribution ou commentaire :
aidé les associations quelques soit. de petite taille ou grande. en ne fesant pas de discrimination.
etre reconnu dans nos carrières professionnel pour les bénévoles
etre reconnu dans nos carrières professionnel pour les bénévoles
2. Reconnaissance de la vie associative - Reconnaissance
2. Reconnaissance de la vie associative - Reconnaissance
Thème :
2. Reconnaissance de la vie associative
Nom :
Lafond
Titre de votre contribution :
Reconnaissance
Votre contribution ou commentaire :
aidé les associations quelques soit. de petite taille ou grande. en ne fesant pas de discrimination.
etre reconnu dans nos carrières professionnel pour les bénévoles
etre reconnu dans nos carrières professionnel pour les bénévoles
2. Reconnaissance de la vie associative - Statut du bénévol
2. Reconnaissance de la vie associative - Statut du bénévol
Thème :
2. Reconnaissance de la vie associative
Nom :
LAGARDE
Titre de votre contribution :
Statut du bénévol
Votre contribution ou commentaire :
Quand y-aura-t-il un statut du bénévol pour être reconnu comme tel ?
Le bénévolat coute cher en plus du temps ( frais de transport + autoroute, matériels, ...), les petites associations n'ont pas les moyens financiers de compenser les frais engagés par les bénévoles.
Le bénévolat coute cher en plus du temps ( frais de transport + autoroute, matériels, ...), les petites associations n'ont pas les moyens financiers de compenser les frais engagés par les bénévoles.
3. Richesses humaines - Reconnaissance
3. Richesses humaines - Reconnaissance
Thème :
3. Richesses humaines
Nom :
Lafond
Titre de votre contribution :
Reconnaissance
Votre contribution ou commentaire :
la richesse qui est apporté par les bénévoles et les salariés sont portées par des personnes qui ont envie de transmettre et d aider son prochain. mais maintenant cela ce perd car les personnes ne sont pas valoriser et cela est bien dommage.
3. Richesses humaines - comment insiter les jeunes ou moins jeunes à offrir de leur temps dans une association sans attendre une compensation ?
3. Richesses humaines - comment insiter les jeunes ou moins jeunes à offrir de leur temps dans une association sans attendre une compensation ?
Thème :
3. Richesses humaines
Nom :
Lefèvre Moïsette
Titre de votre contribution :
comment insiter les jeunes ou moins jeunes à offrir de leur temps dans une association sans attendre une compensation ?
Votre contribution ou commentaire :
presidente d'association depuis 30 ans ,l esprit associative se transforme de plus en plus . en generale aujourd'hui on ne s'investie plus de la meme maniere dans une association . le tout gratuit n existe plus et un benevole attend une compensation pour l effort fourni .
par contre je serai favorable pour un dédomagement pour le president qui à une lourde responsabilité sur les épaules et qui donne beaucoup de son temps gratuitement.
par contre je serai favorable pour un dédomagement pour le president qui à une lourde responsabilité sur les épaules et qui donne beaucoup de son temps gratuitement.
4. Modèle socio-économique - Pour une plus grande longévité des financements
4. Modèle socio-économique - Pour une plus grande longévité des financements
Thème :
4. Modèle socio-économique
Nom :
Koch Mathian Olivier Familles Rurales
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Pour une plus grande longévité des financements
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Aujourd'hui, de nombreux financements ont des durées courtes, et servent beaucoup à financer l'innovation pure ou l'amorçage. Ce modèle, s'il peut être intéressant, est difficilement viable pour le monde associatif, qui a des missions sociales qui ne sont pas forcément viables financièrement sur le long terme sans subvention. Il faut donc aider les associations à consolider les innovations existantes qui marchent pour les usagers, avec des financements de montée en échelle, avec une vraie visibilité à long terme (pluriannuelle). De manière à assurer un service de qualité aux usagers, qui ne s'arrête pas au bout de 1 ou 2 ans, faute de moyens. Financer l'innovation pour l'innovation n'est pas très intéressant, il faut aussi favoriser la montée en échelle des innovations qui marchent, et qui n'ont pas nécessairement vocation à être autonomes financièrement, c'est notamment vrai dans le monde rural peu densement peuplé.
4. Modèle socio-économique - pour une subvention d'équilibre ?
4. Modèle socio-économique - pour une subvention d'équilibre ?
Thème :
4. Modèle socio-économique
Nom :
natacha bazin - association work'in blois
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pour une subvention d'équilibre ?
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A l'initiative de la création d'une association en 2017, Work'in Blois, dont l'objet était la création et le développement d'espaces de coworking dans le blésois, je me trouve aujourd'hui dans une impasse qui illustre bien la problématique du modèle économique de nos structures.
Nous avons bénéficié de Fonds Leader et autres aides de la Région Centre-Val de Loire (cap asso et a vos id) au début de notre projet pour son aspect innovant et collaboratif. Ces aides nous ont permis de créer et maintenir un emploi pour animer et surtout de développer l'Hôte Bureau, son impact pour les usagers et pour le territoire. Nous avons également mis en place un nouveau service (plus lucratif) de centre d'examen du code de la route, en conventionnement avec Bureau Véritas (privé).
A ce jour et en l'absence de nouveau soutien public, notre activité est rentable en elle-même mais ne permet pas de dégager un salaire, pourtant essentiel dans l'animation et la tenue de notre espace collectif. A ce jour et après avoir utilisé beaucoup de leviers, je pense à dissoudre l'asso et fermer le lieu. Sa place en centre-ville, son accessibilité, sa souplesse, les valeurs qu'il véhicule ont permis à l'Hôte Bureau de construire sa notoriété et son impact positif, et sociétal sur le territoire.
Quel positionnement les collectivités publiques peuvent-elles avoir à l'égard de telles activités à la frontière du service public ? Quel rôle peuvent-elles endosser pour permettre à de telles structures de maintenir un équilibre ? La part d'auto-financement est importante, la diversisté des services proposés est construite : notre structure n'est pas un "objet à subventionner" mais un véritable projet économique en développement, qui a besoin de soutiens adaptés, pour atteindre l’autonomie financière.
Nous avons bénéficié de Fonds Leader et autres aides de la Région Centre-Val de Loire (cap asso et a vos id) au début de notre projet pour son aspect innovant et collaboratif. Ces aides nous ont permis de créer et maintenir un emploi pour animer et surtout de développer l'Hôte Bureau, son impact pour les usagers et pour le territoire. Nous avons également mis en place un nouveau service (plus lucratif) de centre d'examen du code de la route, en conventionnement avec Bureau Véritas (privé).
A ce jour et en l'absence de nouveau soutien public, notre activité est rentable en elle-même mais ne permet pas de dégager un salaire, pourtant essentiel dans l'animation et la tenue de notre espace collectif. A ce jour et après avoir utilisé beaucoup de leviers, je pense à dissoudre l'asso et fermer le lieu. Sa place en centre-ville, son accessibilité, sa souplesse, les valeurs qu'il véhicule ont permis à l'Hôte Bureau de construire sa notoriété et son impact positif, et sociétal sur le territoire.
Quel positionnement les collectivités publiques peuvent-elles avoir à l'égard de telles activités à la frontière du service public ? Quel rôle peuvent-elles endosser pour permettre à de telles structures de maintenir un équilibre ? La part d'auto-financement est importante, la diversisté des services proposés est construite : notre structure n'est pas un "objet à subventionner" mais un véritable projet économique en développement, qui a besoin de soutiens adaptés, pour atteindre l’autonomie financière.
5. Transition écologique et numérique - Pour que la transition écologique soit structurante dans tous les domaines associatifs
5. Transition écologique et numérique - Pour que la transition écologique soit structurante dans tous les domaines associatifs
Thème :
5. Transition écologique et numérique
Nom :
Koch Mathian Olivier Familles Rurales
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Pour que la transition écologique soit structurante dans tous les domaines associatifs
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La transition écologique est aujourd'hui considérée comme un secteur à part, déconnecté du reste, alors que c'est une problématique majeure et transversale. Elle devrait être traitée de manière transversale et structurante dans tous les secteurs, incluant le monde associatif.
A ce titre, toutes les subventions/actions devraient répondre à des critères liés à l'écologie, pour améliorer les pratiques et l'impact, et devraient être accompagnées en cas de surcout temporaire pendant la transition. Toute action devrait être construite et mise en oeuvre en prenant en compte aussi les aspects environnementaux
A ce titre, toutes les subventions/actions devraient répondre à des critères liés à l'écologie, pour améliorer les pratiques et l'impact, et devraient être accompagnées en cas de surcout temporaire pendant la transition. Toute action devrait être construite et mise en oeuvre en prenant en compte aussi les aspects environnementaux
5. Transition écologique et numérique - Une transition impérative, mais aussi une chance pour les associations
5. Transition écologique et numérique - Une transition impérative, mais aussi une chance pour les associations
Thème :
5. Transition écologique et numérique
Nom :
Barrault Romain
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Une transition impérative, mais aussi une chance pour les associations
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L'impact du numérique sur l'environnement n'est plus à rappeler. L'impondérable d'allonger les durées de vie des équipements et de ne plus être dans le "jetable/obsolescence rapide" est aussi un atout pour les associations : certaines s'emparant de la thématique du réemploi comme source d’activité économique locale, et d'autres trouvant dans ces débouchés de "seconde main" une offre vertueuse et accessible pour des publics dans l'incapacité d'investir dans un équipement neuf. L’enjeu est donc de pouvoir apporter suffisamment de produits inutilisés aux premières, tout en créant les connexions avec les secondes.
6. Coopération et accompagnement - Jardin
6. Coopération et accompagnement - Jardin
Thème :
6. Coopération et accompagnement
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Jardin
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Apprener a jardiner
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